“ 175 km, 10 000 m de dénivelé. Chaque année, des milliers de marcheurs s’engagent sur le Tour du Mont-Blanc. Un livre retrace l’histoire de la plus populaire des randonnées d’Europe, à travers des photos superbes. Il a été récompensé par le prix mondial du Livre de l’image de montagne. ”
Les aspects techniques :
• Numérisation de négatifs couleurs
• Calage chromie des images pour les tirages d’exposition et l’impression du livre en Offset chez Reprint, imprimeur toulousain.
Envie de voyager dans le temps et l’espace tout en marchant sur les pas des aventuriers d’hier et d’aujourd’hui ? Cette exposition est faite pour vous !
À l’occasion de ses 150 ans, le Muséum de Toulouse propose une exploration originale de ce thème passionnant et reçoit le label « Exposition d’intérêt national » du ministère de la Culture et de la Communication.
Le scénographe Brice Viallard a imaginé une exposition qui se voulait différente des autres et nous a donc demandé de lui proposer des matériaux à la hauteur de ses exigences. Un alligator en fond de vitrine, des cartes imprimées sur de la toile de peintre, du plexi champs polis avec les cartels imprimés directement et du covering d’ascenseur.
Une exploration qui saura vous faire découvrir notre savoir-faire à travers un travail scénographique original !
En savoir plus sur cette expo
« Glisser. D’un objet à l’autre, du réel à l’imaginaire. Poésie du dérisoire, mes sculptures, installations, photographies… sont les témoins de mes jeux intérieurs. Détourner l’objet de sa mémoire collective, juxtaposer le sens et le non sens sont les axes majeurs de ma démarche. Sensible à la contrainte des matériaux, mes expérimentations ont poussé mon désir de plasticien à redéfinir l’objet et son contexte.
Le plus souvent, les matériaux choisis m’offrent une palette chromatique et formelle préexistante, apte à prendre un sens nouveau. Leur forme et leur matière deviennent alors éléments de fabrication et instruments de narration. En effet, mon intérêt se ressource sans cesse dans une relation poétique et esthétique avec des objets du quotidien, que je revisite.
Ainsi recomposés, ré-enchantés, ces objets s’avèrent de réels supports d’exploration du pictural, de la sculpture, de l’installation, puisque dans cette mise en exergue du quotidien, je cherche à surprendre l’observateur, retenu par la (re)connaissance de l’objet et séduit par son déplacement.
J’aime, par ce jeu de reconnaissance détournée, donner du plaisir, de la couleur, des formes, des sensations. »
Julien Escafit
Les aspects techniques :
• Impression sur bâche 450gr. avec œillets sur ourlet de renfort
Après une première exposition fin 2014 présentant les paysages du Tour du Mont-Blanc, ce second volet retrace la vie des acteurs locaux, des professionnels du Tour -gardiens de refuges, accompagnateurs de moyenne montagne- aux randonneurs, en passant par les alpagistes, les agriculteurs, etc.
Ces scènes de vie du quotidien, captées par Pascal Bachelet lors de sa résidence à Saint-Gervais au cours de l’été 2014 et présentées à la maison forte de Hautetour seront complétées par une série de 20 portraits en grand format accrochés dans l’espace public à Saint-Gervais village, à Saint-Nicolas de Véroce, et au Fayet.
Les aspects techniques :
• Scan rotatifs sur Tango Heidelberg depuis les originaux négatifs couleur 6×7
• Tirages papier satiné sur Durst Lambda en 40×50 et 30x40cm
Les photographies de Jacques Mataly pourraient être prises n’importe où, ce qui leur permet de revendiquer une certaine universalité : nous avons à faire à quelque chose de plus qu’à des lieux simplement photographiés.
Il s’agit ici de s’intéresser non pas à la situation mais à la transposition dans l’image d’une expérience visuelle propre ; Quand ils ne sont pas confondus, la mer et le ciel paraissent courir l’un vers l’autre, s’intensifier et se mélanger le long d’une ligne d’horizon.
Il y a une invitation à voir l’impossible, à promener son regard au bord du globe terrestre. Il s’installe alors un rythme partagé entre l’émergence et le secret, une ligne de flottaison de l’imaginaire.
Réalisées avec un Hasselblad, les prises de vues sont issues de films argentiques. Les tirages sont réalisés sur papier photographique traditionnel. Chaque tirage est signé et numéroté.
Les aspects techniques :
• Scan rotatifs sur Tango Heidelberg depuis les originaux négatifs couleur 6×6
• Tirages papier satiné sur Durst Lambda en 30×30 cm